Zum Anlass des Erntefestivals Vaisaki am 14. April versammeln sich ganze Städte, vor allem im Punjab, zum Beten und gemeinsamen Essen in Gurudwaras.
So taten das das auch meine Kollegen und ich. Statt mitgebrachte Chapati und Chana Poori im Büro gemeinsam zu verspeisen oder, wie in meinem Falle, für die Allgemeinheit ein Gericht von außerhalb zu bestellen, bekamen wir vom Chef eine Stunde für die Mittagspause zum Tempelbesuch genehmigt. So machten wir uns in jetzt bereits größter Hitze auf den Weg ins zwei Straßen entfernte Gurudwara.
Dieser kleine Spaziergang kam allen wie eine Riesenwanderung vor, nach der ersten Tageshälfte im wundervoll kühltkalten Büro.
Am Eingang des Tempels warfen sich alle Tücher über die Haare. Außerdem stiegen wir in Wasserbecken, um Füße und Hände zu reinigen, bevor es in die Gebetshalle ging. Dort werden 24 Stunden am Tag Mantren über Lautsprecher und Band zum Gebet gespielt. Man stellt sich in eine Reihe, um sich am Ende mit kleiner Spende oder nicht vor ein altarähnliches Blumenfeld niederzuwerfen.
Das Mittagessen fand im äußeren Tempelbereich statt, wo in zehn Reihen aberhunderte von Indern nebeneinander auf dem Boden saßen und Teller, Daal, Kheer und Chapati in Unmengen immer und wieder nachgereicht bekamen. Nach meinen anfänglichen Zweifeln an Sauberkeit genoss ich nach einer dieses reichliche Mahl und die Eindrücke in vollen Zügen.
Allerdings konnte mir von meinen Kollegen, die entweder Hindus oder Sikhs sind keinen Unterschied zwischen den Religionen nennen. Ich hatte am Anfang gefragt, ob es normal sei, dass Hindus in Sikhtempeln beten. Wenn ich den Unterschied wissen will, bin ich wohl eine der wenigen Bewohner dieses Subkontinents, die sich diese Frage stellt…
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Le 14 avril, des villes, surtout au Punjab, se sont rassemblées dans des temples pour prier et manger ensemble. Mes collègues et moi ont aussi profité du jour d'action de grâce pour les moissons et les récoltes pour prendre le déjeuner dans un temple sikh, un Gurudwara. Au lieu de manger les plats apportés ensemble aux bureaux, le chef nous a accordé une heure de pause de midi pour une visite du temple.
Ainsi, quatre filles et deux garcons ont commencé une promenade pendant la chaude du midi. Après une demi-journée au bureau refraîchi, c’était comme une longue randonnée, même pour les Indiens qui connaissent les températures ici.
A l’entrée du temple, tout le monde a jeté une écharpe sur ses cheveux. En plus, il fallait aller dans un bassin pour laver des pieds et des mains avant d’entrer la halle de prière. Là, 24 heures de la journée, un groupe de musique joue des mantras pour la prière. On fait la queue, pour donner un don à son fin et se jeter aux pieds devant une artel de fleurs.
Le déjeuner s’est déroulé à l’extérieur du temple, où dix rangs d’une centaine d’Indiens s’était assis l’un à coté l’autre par terre et ils étaient donnés des plats, du daal, du kheer et des chapatis en quantité énorme. Après les premières minutes de doute pour la propreté, j’ai vraiment savouré le banquet et profité de beaucoup d’impressions.
Pourtant, je ne pouvais pas apprendre de mes collègues quelle est la différence entre la religion des Sikhs et des Hindus. Au début j’avais demandé s’il y avait normal pour les Hindus, nos filles, d’aller prier dans un temple Sikh. C’est normal et personne ne connais la différence entre leurs religions. Quand je le demande, je suis peut-être une des peu d’habitants sur ce sous-continent qui posent cette question…
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