Für alle, die bei Indien an die Verehrung von Kühen denken, habe ich eine fantastische Neuigkeit:
Nach zwei Wochen in diesem Lande habe ich gleich zwei Tage hintereinander meine drei ersten frei auf der Straße herumrennenden Riesenkühe gesehen. Als ich gestern Abend mit Autorikscha nach Hause gebracht wurde und wir die letzte Abbiegung nahmen, klappte auf einmal mein Mund auf. Eine riesige braune Kuh, wie ich sie noch niemals zuvor in diesen Maßen gesehen hatte, rannte vor uns auf den Gehweg, um gleich hinter der Kreuzung wieder mit aller Ruhe auf die Straße zu springen.
Allé, das Land der verehrten Kuh!
Und noch eine witzige Begegnung machte ich am Sonntag zuhause:
Wegen Regen und grauem Himmel entschied ich mich, auszuschlafen und den Tag in Ruhe daheim zu verbringen. Als es an der Tür klopfte, dachte ich zuerst, es sei die nette Nachbarsfamilie. Dann war ich froh, die Außentür auch noch verriegelt zu haben.
Denn als ich die innere Pforte öffnete, blickten mich zwei Gurus mit Original Guru-Identitätsausweisen an und brabbelten mich mit Hindi zu. Ich konnte mir ein grinsen nicht verkneifen, als sie mir dann auch noch ein Foto ihres Klans zeigten. „I’m sorry, I don’t speak Hindi…“
Pour tous ceux qui pensent aux vaches sacrés en Inde, j’ai de nouvelles fantastiques :
Après deux semaines dans ce pays, j’ai vu trois vaches géantes se promenant dans la rue dans deux jours de suite. J’étais en train de rentrer à la maison en auto-rikshaw quand la plus grande vache que jamais j’ai vue dans ma vie a couru devant nous dans la rue. Apres quelques pas sur le trottoir, elle s’est décidée de nouveau pour la rue.
Allé les vaches !
Et une autre rencontre amusant à la maison ce dimanche :
A cause de la pluie et du ciel gris, je suis restée à la maison pour me détendre un peu après mes six jours au travail. Quand on avait frappé à ma porte, j’ai pensé que c’était ma gentille famille voisine. Mais quand j’avais ouvert ma porte de quatre serrures à l’intérieur, j’ai compris tout à coup pourquoi il y a encore une autre deuxième porte pour tous les appartements dans ce pays.
Parce que devant celle-là, deux gourous me présentaient leurs passes de gourou qui étaient de vrais cartes d’identité. Quand l’un des deux m’a encore montré une photo de leur clan, je pouvais plus me retenir d’un ricanement. « I’m sorry, I don’t speak Hindi…. »