Dienstag, 26. April 2011

Lahm legende Hitze / Chaleur épuisante

Dreiergespann: Ich, Mohammad, Somayyeh /
Groupe des trois: Moi, Mohammad, Somayyeh.

Als ich diesen Sonntag den Bewegungsdrang verspuerte und voller Elan aus dem Haus marschierte, um ein Stueck zu laufen, musste ich feststellen, wie unertraeglich heiss es nun schon geworden ist. Die ganze Woche ueber im gekuehlten Buero merkt man gar nicht, wie warm es tagsueber eigentlich schon ist.Nach einer kleinen Runde steuerte ich nur noch den Markt an, um kaltes Wasser und Cola fuers Mittagessen zu besorgen.
Zum Mittag fuhr ich dann in Sektor 37 zu Somayyeh und Mohammad, meinen zwei iranischen Freunden. Sie hatten typisch iranisch gekocht und so schlugen wir uns die Maegen voll, tauschten Fotos und Filme aus. Am Nachmittag ging es zusammen zum Shopping in indischen Souks. Als Abschluss bekam ich dann noch mein erstes schmackhaftes indisches Eis! :)




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Quand je voulais bouger un peu ce dimanche, j'ai quitté la maison pour me promener. J'ai pu remarquer la chaleur indienne tout a coup, celle qu'on ne sent jamais qu'on on est a l'office froid toute la journée. Apres une très petite marche, j'ai juste pris la direction du marcher pour acheter de l'eau froid et du coca pour le déjeuner.
Pour le déjeuner, je suis allée au secteur 37 chez Somayyeh et Mohammad, mes deux amis iraniens. Ils avaient cuisiné iranien. On s’est goinfré et échangé des photos et des films anglais. 



L’après-midi, on a fait du shopping ensemble dans les souks indiens ensemble. Pour la bonne bouche, j’ai perçu ma première glace indienne ! :)

Parade am Sukhna Lake / Parade au bord du Sukhna Lake.

 

Und zwei tanzende Ausländerinnen. / Et deux étrangères en dansant.

Mittwoch, 20. April 2011

Indische Shoppingbegeisterung / Enthousiasme indien pour le shopping


Vor zwei Tagen war ich bei meiner ersten Kleidermesse in Chandigarh. Zwei Kolleginnen bewiesen mir, wie shoppingbegeistert sie sind. Es war witzig zu sehen, wie gerne sie um den Preis verhandeln und ewig nach Tüchern oder Taschen suchen können.
Kasturi und ich kauften uns beide Kleider, die wir am nächsten Tag auch sofort stolz im Büro präsentierten. Außerdem gab es noch neue Dupatas (indische Tücher) und Schmuck.
Indien ist ein kleines (oder besser gesagt riesiges) Shoppingparadies für Frauen!

Ich mit Kasturi und Pratiba. / Moi avec Kasturi et Pratiba.
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Il y a deux jours, j’ai visité ma première foire de tissus à Chandigarh. Deux collègues m’on montré qu’elles aiment absolument le shopping. Il était drôle de les voir discuter les prix et chercher des écharpes ou des sacs, une éternité.
Kasturi et moi ont acheté des robes que nous avons présenté le jour après déjà au bureau. En plus, il y avait de nouveaux dupatas (écharpes indiens) et des bijoux.
L’Inde est un petit (ou mieux dire géant) paradis de shopping pour des femmes !

Sonntag, 17. April 2011

Couchsurfing im fernen Indien / Couchsurfing en Inde lointaine


Chhattbir Zoo

Vor einiger Zeit dachte ich mir, dass sich über Couchsurfing doch Leute finden lassen müssten, mit denen man seinen freien Sonntag verbringen kann. Es kam eine Zeit der Mailkommunikation. Ein sehr witziges Skype-Videotelefonat. Zwei Tage später fuhr ich mit drei Iranern zum Chhattbir Zoo etwa eine ¾ Stunde von Chandigarh entfernt.


Auf der Strecke durch Dörfer und auf kaum auszumachenden Fahrbahnen wurde es immer dschungelhafter. Im Zoo angekommen bekamen wir dann alle möglichen wilden Tiere samt einer viertelstündigen Safari mit Löwen und Pfauen geboten.

Somayyeh et moi
Zum Mittagessen fuhren wir anschließend zu McDonalds, wo wir uns an typisch indisch brennend scharfen Wraps und Burgern laben durften. 

Die Rückfahrt nach Chandigarh war sehr amüsant mit einigen Verfahrungen und tanzenden Studenten im Auto. Trotzdem wir alle keine Inder sind, fielen wir auf der Straße gar nicht auf, da wir indisches Radio bis zum Anschlag aufgedreht hatten, was hier sowieso alle tun.

Eine Woche später trafen wir uns zum indischen Mittag im Shoppingsektor 17, was mir anschließend auch meine ersten indischen Flipflops bescherte. Dann ging an den Sukhna Lake und in Sektor 10 zum Obst-, Gemüße- und Geschirreinkaufen.


Fazit: Couchsurfing ist eine tolle Plattform, um ein paar Gleichgesinnte im fernen Ausland zu finden, wo die meisten einheimischen Gleichaltrigen vergeben, verheiratet oder schwer beschäftigt sind…

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Il y a quelques temps, j’ai pensé qu’il devrait être possible de trouver quelques jeunes sur Couchsurfing pour passer les dimanches libre ensemble. Il suivait une période de communication par mail. Une conversation-vidéo sur Skype très drôle. Deux jours après, je me suis retrouvée avec trois Iraniens dans une voiture pour le Chhattbir Zoo, qui se trouve ¾ heures de « City Beautiful ».

ONLY WHO BELIEVES IN RE-BIRTH
SHOULD RISK GOING NEAR

Pendant le voyage on a traversé des villages et des rues que nous n’aurions jamais trouvé sans l’indication par d’autres conducteurs. La nature s’est aussi changée, tous est devenu plus comme dans la jungle. Dans le zoo, il y avait tous possibles animaux et un safari d’un quart d’heure avec des lions et des paons.

Pour le déjeuné, nous sommes allés à McDonalds, où il y avait, typiquement Indien, des wraps et sandwichs brûlants.

Somayyeh et Behrooz

Le retour à Chandigarh était très amusant parce qu’on s’est trompé de route quelques fois et nous, les étudiants ont dansé dans la voiture. Même si nous sommes tous des étrangers, personne ne l’a remarqué cet après-midi car le radio Indien était trop fort comme dans toutes les voitures ici.

Une semaine plus tard, nous nous sommes rencontré au secteur de shopping, no. 17, ce qui a eu mes premier flip-flops Indien pour résultat. Puis, nous avons fait une promenade au bord du Sukhna Lake et nous avons fait des courses au secteur 10.



Bilan : Couchsurfing est une bon plateforme pour trouver quelques autres jeunes étrangers dans un autre pays , où la plupart des habitants est déjà pris, marié ou juste trop occupé… 

Freitag, 15. April 2011

Mittagessen im Gurudwara / Déjeuné dans un Gurudwara


Zum Anlass des Erntefestivals Vaisaki am 14. April versammeln sich ganze Städte, vor allem im Punjab, zum Beten und gemeinsamen Essen in Gurudwaras.
So taten das das auch meine Kollegen und ich. Statt mitgebrachte Chapati und Chana Poori im Büro gemeinsam zu verspeisen oder, wie in meinem Falle, für die Allgemeinheit ein Gericht von außerhalb zu bestellen, bekamen wir vom Chef eine Stunde für die Mittagspause zum Tempelbesuch genehmigt. So machten wir uns in jetzt bereits größter Hitze auf den Weg ins zwei Straßen entfernte Gurudwara.
Dieser kleine Spaziergang kam allen wie eine Riesenwanderung vor, nach der ersten Tageshälfte im wundervoll kühltkalten Büro.

Am Eingang des Tempels warfen sich alle Tücher über die Haare. Außerdem stiegen wir in Wasserbecken, um Füße und Hände zu reinigen, bevor es in die Gebetshalle ging. Dort werden 24 Stunden am Tag Mantren über Lautsprecher und Band zum Gebet gespielt. Man stellt sich in eine Reihe, um sich am Ende mit kleiner Spende oder nicht vor ein altarähnliches Blumenfeld niederzuwerfen.

Das Mittagessen fand im äußeren Tempelbereich statt, wo in zehn Reihen aberhunderte von Indern nebeneinander auf dem Boden saßen und Teller, Daal, Kheer und Chapati in Unmengen immer und wieder nachgereicht bekamen. Nach meinen anfänglichen Zweifeln an Sauberkeit genoss ich nach einer dieses reichliche Mahl und die Eindrücke in vollen Zügen.

Allerdings konnte mir von meinen Kollegen, die entweder Hindus oder Sikhs sind keinen Unterschied zwischen den Religionen nennen. Ich hatte am Anfang gefragt, ob es normal sei, dass Hindus in Sikhtempeln beten. Wenn ich den Unterschied wissen will, bin ich wohl eine der wenigen Bewohner dieses Subkontinents, die sich diese Frage stellt…

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Le 14 avril, des villes, surtout au Punjab, se sont rassemblées dans des temples pour prier et manger ensemble. Mes collègues et moi ont aussi profité du jour d'action de grâce pour les moissons et les récoltes pour prendre le déjeuner dans un temple sikh, un Gurudwara. Au lieu de manger les plats apportés ensemble aux bureaux, le chef nous a accordé une heure de pause de midi pour une visite du temple.
Ainsi, quatre filles et deux garcons ont commencé une promenade pendant la chaude du midi. Après une demi-journée au bureau refraîchi, c’était comme une longue randonnée, même pour les Indiens qui connaissent les températures ici.

A l’entrée du temple, tout le monde a jeté une écharpe sur ses cheveux. En plus, il fallait aller dans un bassin pour laver des pieds et des mains avant d’entrer la halle de prière. Là, 24 heures de la journée, un groupe de musique joue des mantras pour la prière. On fait la queue, pour donner un don à son fin et se jeter aux pieds devant une artel de fleurs.

Le déjeuner s’est déroulé à l’extérieur du temple, où dix rangs d’une centaine d’Indiens s’était assis l’un à coté l’autre par terre et ils étaient donnés des plats, du daal, du kheer et des chapatis en quantité énorme. Après les premières minutes de doute pour la propreté, j’ai vraiment savouré le banquet et profité de beaucoup d’impressions.

Pourtant, je ne pouvais pas apprendre de mes collègues quelle est la différence entre la religion des Sikhs et des Hindus. Au début j’avais demandé s’il y avait normal pour les Hindus, nos filles, d’aller prier dans un temple Sikh. C’est normal et personne ne connais la différence entre leurs religions. Quand je le demande, je suis peut-être une des peu d’habitants sur ce sous-continent qui posent cette question…